Ah la Thaïlande… À tout juste 22 ans, je découvrais ce pays pour la première fois. 2 mois au cœur de Bangkok pour travailler. J’ai eu un véritable coup de cœur pour ce peuple si accueillant, la nourriture si variée et délicieuse et puis ces sourires, ce soleil de plomb, ces paysages à couper le souffle…
L’année suivante, j’y retournais plusieurs semaines à la découverte du nord et des îles. Et puis plusieurs années après avec les enfants, en famille nous y sommes retournés deux années consécutives.
Vous vous en doutez, la Thaïlande on l’a dans la peau !
Retrouvez tous mes articles sur la Thaïlande : 10 bonnes raisons de partir en Thaïlande en famille, petit budget en Thaïlande en famille, nos indispensables en Thaïlande avec des enfants, la Thaïlande avec un bébé ainsi que tous nos récits de voyages : Koh Phangan, Koh Yao Noi, Koh Ngai, Phuket, Bangkok…
Alors forcément, quand Aline (du compte Instagram enila_thailandlife m’a envoyé son tout premier message via Instagram pour me demander des conseils sur la vie là-bas (car elle allait partir y vivre avec sa famille) ça m’a interpellé et j’ai suivi de loin ses aventures au bout du monde.
Quelques mois plus tard, je lui demandais de nous partager son expérience que voici ci-dessous.
Je tiens à préciser qu’ils ne sont pas partis via une entreprise et qu’ils ont dû faire les démarches de A à Z seuls ! Voilà qui rend l’expérience un peu plus compliquée, mais du coup beaucoup plus intéressante pour ceux qui souhaitent suivre la même voie.
Bonne lecture !
Sommaire
Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Ah, la présentation… faire bonne impression en quelques mots finalement. Il faut déjà savoir que je suis un poil perfectionniste. Rien que sur cette première question, je balaye les différents sites qui se proposent de vous aider à faire une présentation concise et efficace sans perdre le lecteur. Tu vois le genre : ne pas paraitre ennuyeuse et captiver les gens mais sans être moi-même. Très mauvaise idée alors je reprends.
Je m’appelle Aline, j’ai 33 ans, d’origine Polonaise ne sachant pas parler un mot de polonais et venant des Hauts de France. Je suis mariée à Kévin, que je connais depuis que j’ai 13 ans et nous sommes les heureux parents d’un petit Paul qui est âgé de 2 ans et qui met notre patience à rudes épreuves ! The terrible two !!!
Et je vis ma plus belle vie depuis le 21.02.2020 date de notre arrivée en Thaïlande.
D’où vient cette envie de quitter la France ? C’est votre première expatriation ?
Pour être tout à fait franche, si Kévin n’avait pas eu cette idée jamais je ne l’aurais eu. Partir vivre à l’étranger ? moi ? euh non vous vous trompez, de toute ma vie je n’ai connu que la Haute Savoie et l’Alsace avec mes parents, et mes voyages d’ado et d’adultes se sont résumés à l’Angleterre, la Belgique, la Hollande et l’Espagne…ah si j’oubliais le plus important mon voyage de noce à l’Ile Maurice qui m’a fait gouter à ce que je ne connaissais pas jusque-là !
Donc me parler d’aller vivre en Thaïlande, le choc, pour moi c’était de l’ordre du projet, vous savez celui dont on parle mais que l’on ne réalise jamais.
Disons qu’en France, dans notre belle maison achetée en 2018, on s’ennuyait ferme, pourtant on en a fait des travaux.
Les paysages, le temps, le quotidien rien de quoi rendre notre vie spéciale ou tout simplement intéressante. Aucun épanouissement personnel à l’horizon.
Je me souviens encore de quelques remarques quand nous avons annoncé notre départ « ah mais quoi vous allez démissionner (démission pour Kevin et rupture conventionnelle pour moi) alors que vous avez tous les deux un poste confortable dans la société familiale ? Mais pourquoi ??? » Alors oui, nous avions tout c’est vrai, mais rien à la fois puisque là encore difficile de faire sa place et de faire avancer les choses dans notre sens dans une société fondée par le père de mon mari…des divergences de points de vue, des conflits de génération bref on stagnait !
Kévin a décidé de se lancer dans le marketing digital, domaine qui le passionne depuis des années et pour lequel il est doué, il a créé son entreprise en parallèle pour voir si cela pouvait être viable c’était en mars 2019.
Et en juillet il savait. Ça allait le faire ! C’est lors de nos vacances en Espagne, les pieds dans l’eau qu’il m’expose sa vision de notre avenir et clairement je le prends pour un fou. En y réfléchissant, il a raison vivre autre chose, autrement et faire voyager notre fils à un âge où tout est possible. BANKO !
Pourquoi la Thaïlande ? Vous connaissiez ?
On voulait du soleil, de la chaleur, une vue mer, on voulait tout quoi !
C’est un bon postulat de départ vous me direz, mais où ?
Les Bahamas nous ont longtemps fait de l’œil, tout y était réuni et même fiscalement c’était hyper intéressant on ne va pas se le cacher, mais le manque d’activité autre que chiller sur les plages et puis le coût de la vie aussi. Ces éléments nous ont fait reprendre nos esprits.
Un après-midi, Kévin me dit « on ne part plus aux Bahamas, ça te dit pas la Thaïlande ? « lol
Euh.. ok, soleil, chaleur, mer on est bon, culture hyper intéressante, paysages variés…pas mal et en plus il parait que les Thaïs sont sympas, souriants et qu’ils aiment les enfants…ah et est-ce qu’ils ont des écoles internationales ? oui, bon allé c’est parti !
Je dis ça comme ça aujourd’hui, mais je peux vous dire que quand il me l’a annoncé je n’en menais pas large.
On partait tout sourire dans l’inconnu complet. Et ce que j’avais préparé en amont pour les Bahamas, je devais tout recommencer et vite ! Départ prévu pour Février Mars et on était en Octobre quand on a changé nos plans.
Comment a réagi votre famille à l’annonce ?
Sujet sensible, mais je vais tout de même vous en dire un peu plus et j’espère trouver les bons mots.
Je n’ai pas une grande famille, les seules personnes qui me sont proches sont ma Maman, mes deux petits frères et mes grands-parents maternels. J’ai perdu mon Papa il y a 9 ans d’un Cancer ( d’une putain de saloperie de Cancer pour être exacte) et la seule chose qui a redonné le sourire à ma Maman après cette terrible épreuve c’est la naissance de mon fils en 2018. Alors comment vous dire que je lui ai fait beaucoup de mal, (j’en pleure encore parfois), mais elle ne s’est jamais opposée à notre projet, n’a jamais rien montré. Seules quelques larmes ont coulé le jour du grand départ. Elle est forte ma Maman.
Pour la famille de mon mari c’est une toute autre histoire, pleine de rancunes, de rancœurs, de non-sens, de non-dits et d’incompréhensions.
Bref ça ne s’est pas très bien terminé. Attention, tout le monde n’a pas réagit comme ça de son coté et heureusement, je pense notamment à sa Marraine qui a été très présente et d’une aide précieuse.
Sinon de manière générale, j’ai eu la sensation que dans la tête des gens c’était comme dans la mienne, c’est pas possible ils ne vont pas partir ça va rester dans un coin et ne pas se réaliser.
Quelles sont les démarches à faire pour vivre en Thaïlande, visa, etc. ?
Les démarches pour avoir un visa sont plutôt simples, il faut soit avoir du temps, soit avoir de l’argent soit les deux. Je m’explique.
Tu viens étudier l’anglais, le thaïlandais, la cuisine, la plongée ou autre ok tu peux avoir un visa étudiant à renouveler tous les trois mois pendant 1 an il me semble.
Tu es retraité, moyennant une bonne assurance santé et un « minimum » de baths sur ton compte, tu peux avoir ton visa retraite à renouveler également tous les trois mois.
Tu as créé ta société ici, ou tu viens travailler pour un gros groupe, ok tu peux venir vivre en Thaïlande.
Tu n’es rien de tout cela, bon et bien sort ton porte-monnaie et payes toi ton visa Elite. Dans notre cas un peu plus de 30.000€ pour trois personnes avec la possibilité de rester 5 ans sur le territoire et pas de renouvellement à faire tous les 3 mois. Tu fais partie de l’Elite !!!
Comment s’est passé votre déménagement ?
Nous avons eu un déménagement de rêve, moi qui déteste ça et qui appréhendais donc beaucoup. Clairement j’ai déménagé 4 ou 5 fois dans ma vie et ça n’a jamais été une partie de plaisir, bon là c’est pour la bonne cause on ne va pas se le cacher mais quand même.
Quand je dis de rêve, c’est en grande partie grâce à un super timing notamment sur la vente de la maison. Mise en vente en Novembre, compromis 1 mois plus tard et signature le lendemain de notre départ ( nous avons fait procuration).
Ce point était stratégique dans notre aventure, la vente nous permettait de financer nos visas.
Je dis de rêve également, car j’ai une Maman en or qui a récupéré toutes nos affaires, mobilier, fringues, jouets…ce que nous n’avons pas vendu est stocké dans son sous-sol et quand elle a le temps elle vend tout doucement. Nous sommes partis avec trois valises pour changer de vie, alors imaginez tout ce qu’il reste. Rien qu’en paires de chaussures, moi l’acheteuse compulsive, je dois en avoir une cinquantaine été et hiver confondus, donc dans les 25 que je pouvais porter ici je n’en ai pris que 8 !! lol Tout le reste est chez Maman !
Après je ne peux pas dire que ça n’a pas été éprouvant physiquement ce serait mentir, pour rappel nous avons nettoyé la maison et fait les derniers cartons jusqu’à minuit la veille de notre départ. Par ailleurs je remercie encore et ils se reconnaitront, ceux qui nous ont aidé.
Levés à 04h je crois pour prendre la navette vers l’aéroport, on était loin d’être frais !
Comment avez-vous trouvé un logement, etc. ?
Notre logement, notre magnifique duplex face à la mer…on en est tellement content ! Nous avons eu beaucoup de chance sur ce coup-là et je dois avouer que si mon mari m’avait écouté on ne l’aurait pas pris.
Je suis très terre à terre et je fais très attention à nos finances, je suis la gardienne du compte en banque. Lol
Sérieusement, je le trouvais très beau, mais trop grand et trop cher cependant Kévin n’était pas de cet avis et il a tout fait pour que nous puissions y vivre. Echanges en Anglais avec la propriétaire, alors qu’il n’en parle pas un traitre mot et négociation sur un bail de 2 ans, là encore si vous le connaissiez…il n’est pas très bon négociateur. Comme quoi quand on veut, on peut !
La chance nous sourit encore aujourd’hui car notre proprio est une femme adorable, qui est elle aussi à l’étranger et avec qui nous échangeons quasiment quotidiennement, la moindre question, le moindre filon qu’elle puisse nous donner, elle est dispo et c’est génial ! Elle contacte même les sociétés de livraison quand nous avons un doute sur ce que l’on a commandé, ou encore elle nous gère nos taxis ou la possibilité de se faire livrer des repas… et j’en passe. Je peux vous dire que lorsque vous arrivez c’est une aide précieuse !
C’est une vraie Thai, toujours prête à rendre service et à faire plaisir.
Quel est votre travail, avez-vous dû en trouver un sur place ?
Comme je l’expliquais précédemment nous sommes partis suite à la création d’entreprise de Kévin. C’est donc lui qui s’occupe de faire vivre notre petite famille pendant que j’élève notre fils. Fils qui me mène parfois la vie dure, il a un sacré caractère et avec l’auto-confinement ça n’a pas facilité les choses.
Par la suite, quand Paul sera à l’école je vais m’investir dans la vie des Thaïs, apprendre leur langue, leur cuisine et les aider comme je peux à mon niveau.
Leur rendre tout ce qu’ils me donnent depuis le début, j’ai fait de belles rencontres, vraiment.
Avez-vous commencé à apprendre le Thaïlandais ?
Bonne question, pour le moment ma maitrise est rudimentaire mais solide :
Bonjour : Sawat dee Kha
Merci : Khop Khoun Kha
Au revoir : Sawat dee kha
Comment ça va ?: Sabaaj die maaj kha ?
C’est un bon début non ?
Quelles sont les plus grandes différences entre la France et la Thaïlande ?
Nous n’avons pas encore assez de recul pour avoir un avis tranché sur cette question.
Cependant quelque chose nous a de suite interpelé : la gentillesse, la sympathie, le sourire. Ce sont vraiment des gens adorables, pour exemple, je ne sais pas vous mais moi quand je me promène en France et que je souris à quelqu’un que je ne connais pas, souvent on me regarde du genre « mais qu’est ce qu’elle me veut cette idiote » ici…on me répond par un sourire.
Et quand je porte un mini short, on ne me regarde pas comme si j’étais la dernière des allumeuses…
Bref il fait bon vivre en Thaïlande.
Ah j’oubliais, le climat ! Cette chaleur constante n’est je pense pas supportable par tout le monde, au quotidien j’entends. Pour les vacances à faire du recto-verso sur la plage et des baignades tout va bien mais pour le reste…
Dites-vous que les premiers temps j’étais toujours en maillot de bain, mon mari ne savait plus ce qu’était un t-shirt et Paul lui, on l’appelait fils cul-nu. Sans rire je ne me maquille même plus, ça fond !
Avez-vous pour projet de rester plusieurs années et d’y scolariser votre enfant ?
Notre visa nous autorise 5 ans, donc nous partons sur cette idée là pour le moment.
C’est un timing suffisant pour découvrir tout en prenant notre temps et laisser à Kévin le temps de travailler. Il ne faut pas oublier que nous ne sommes pas ici en vacances, il faut que l’argent rentre pour que nous puissions rester dans de bonnes conditions.
Nous avions choisi l’école avant la location, c’était notre priorité, trouver une bonne école internationale pour Paul quand nous l’avons trouvé, nous avons cherché une location pas loin.
Paul fera sa rentrée en septembre, avec un cursus Cambridge 100% anglophone.
Nous sommes tellement fière de lui proposer cette vie-là, de développer ses compétences linguistique et de lui faire découvrir le monde.
Nous attendons que la situation revienne à peu près à la normale pour finaliser son inscription et visiter l’école.
As-tu des conseils à donner à mes lecteurs pour réaliser ce genre de rêve ou se lancer dans un tel projet ?
Donner des conseils, je n’ai pas cette prétention, j’apprends encore moi-même chaque jour dans cette immigration.
Je dirais simplement écoutez-vous, faites-vous confiance et croyez en vous même si vous semblez seuls dans cette aventure. C’est normal c’est la vôtre et celle de personne d’autre.
Je me souviens d’une phrase qui m’avait marqué : « Souvent, les gens autour de vous ne comprendront pas votre chemin…Ils n’ont pas besoin ce n’est pas le leur. »
D’un point de vue pratique, soyez prévoyant économiquement parlant, c’est un point primordial pour réussir un nouveau départ. On se dit souvent qu’au soleil nous n’auront pas besoin d’autant de confort, je ne pense pas que ce soit vrai, si vous avez été habitué à un style de vie ce n’est pas facile de s’habituer à moins…
S’expatrié avec un bébé ?
S’installer à l’autre bout du monde n’est pas simple, d’ordinaire les gens ont en tête que nous partons pour de longues vacances, que l’on va se dorer sur les plages quotidiennement et vivre une vie de détente… « Que vous avez de la chance ! » ah et ça aussi, nous l’avons tellement entendu : « Si ça ne marche pas c’est pas grave vous revenez et puis c’est tout » ou encore
« et vous avez pensé à Paul ? »
Non du tout, nous sommes deux égoïstes qui voulons vivre simplement une vie de bohème à ne rien faire et gagner plein de tune dans un pays pauvre et profiter de la bouffe pas cher…alors le gamin franchement c’est le dernier de nos soucis !
Non mais vous êtes sérieux ??? Evidemment qu’on pense à Paul !
Si vous saviez comme ces mots sont lourds de sens.
J’extrapole un peu mais nous ne sommes vraiment pas loin de la vérité.
Je me suis posée énormément de questions, j’ai consulté des articles, des blogs, des forums, j’allais même chercher des gens sur leur profils Facebook et je me prenais le culot de leur envoyer des messages pour avoir des conseils et des retours d’expériences.
En dehors j’étais une Maman sur d’elle, à l’intérieur j’étais apeurée. Seule, sans ma Maman, à plus de 9000kms sans savoir comment Paul allait s’habituer au décalage horaire, à la chaleur, à la nourriture. Est-ce que j’allais trouver de quoi remplacer son lait habituel si je ne trouvais pas la même marque sur place ? Est-ce qu’il allait bien le digérer ? Est-ce que je prends sa poussette ou j’achète une porte-bébé ? Comment vais-je gérer si j’oubliais un indispensable? Y aura-t-il assez de place dans 3 valises pour mettre des kilos de briques de lait, de plats préparés, de médicaments en plus de nos affaires?
Je crois que des questions je m’en suis posée des milliers…
On se met une pression de dingue, nous choisissons pour lui un avenir qui nous semble meilleur, il faut tout assumer après.
C’est vrai, qui voudrait entendre une Maman qui part vivre au paradis se plaindre parce qu’elle va être à court de lait, ou parce qu’elle pète un câble parfois de ne pas pouvoir mettre son enfant quelques heures chez Mamie ou à la crèche pour souffler un peu, ou encore parce qu’elle a peur de cette crise du Covid pour la santé de son enfant ? Ils sont partis ils ne vont pas se plaindre en plus alors là ce serait le pompon.
Heureusement, je trouve que l’on se débrouille bien et que Paul s’est très vite habitué à tous ces changements. Je pense qu’il aime vivre ici, qu’il aime vivre avec nous, peu importe l’endroit sur Terre, parce que c’est notre enfant et que sa place est avec ses parents.
Expatriation/immigration ?
Je voulais aussi aborder un point important pour moi, je ne me considère pas comme une expatriée mais comme une immigrée.
Soyons clair, c’est un choix, nous avons tout quitté, vendu, liquidé, clôturé, nous n’avons plus rien en France. Attention, je ne parle pas de l’humain c’est évident.
Nous n’avons pas accepté la proposition d’un grand groupe pour quitter le pays quelques temps, et nous avons géré la totalité de nos démarches.
Nous avons choisi de partir vivre ailleurs et je garde souvent à l’esprit que je suis Française et que je représente mon pays auprès de celui qui m’accueille aujourd’hui.
La Thaïlande m’offre un cadre de vie dont je n’avais jamais osé rêver et j’espère montrer une belle image des français à l’étranger.
Nous sommes des immigrés.
FIN
Voilà, j’espère que vous avez passé un bon moment à me lire, j’ai été ravie de partager mon expérience avec vous.
Ecrire m’a fait beaucoup de bien, je me sens légère.
Je remercie Fanny BABYMEETSTHEWORLD d’avoir pensé à moi pour son blog, je me sens honorée, vraiment.
J’ai lancé un compte instagram @enila_thailandlife n’hésitez pas à venir m’y rejoindre et découvrir mon quotidien, mon nouveau quotidien et à me faire un retour sur cet article.
A bientôt !
3 commentaires
Bonjour,
Avez vous un moyen de contact de cette famille en Thailande ?! La page insta et fb n’existe plus… J’aurais voulu rentrer en contact avec eux.
Merci
Bonjour, le voici : https://www.instagram.com/littlevoyageurs/ ainsi que https://www.instagram.com/en_direct_de_phuket/
[…] Instagram est le réseau que j’utilise le plus mais c’est surtout celui que je préfère car c’est à mes yeux, le plus créatif. J’avais aussi commencé à utiliser Snapchat mais je n’y vais pas souvent. Twitter, est le premier réseau que j’ai utilisé. Aujourd’hui, je n’y fais plus vraiment attention mais mon compte est toujours actif car il est synchronisé avec mon blog. Les 2 réseaux qui apportent le plus de trafic sur mon blog sont Pinterest et Google. Par exemple, je suis très bien référencée sur l’article « La Thaïlande avec un bébé ». […]