En préparant ses vacances, on ne pense pas forcément au pire. On empaquette ses vêtements, on liste les coins que l’on voudrait visiter, on se prépare une petite trousse à pharmacie et c’est parti !
Depuis que je suis petite, j’en ai fait des jolis voyages à travers le monde et comme vous pouvez bien vous en douter, il s’en est passé des chouettes choses, et des galères aussi !
Depuis que l’on est parent, on prépare nos voyages différemment, la trousse à pharmacie est beaucoup plus fournie, on essaie de choisir des destinations où il est possible de trouver des hôpitaux facilement. Et on s’assure, évidemment. Pas question d’arriver quelque part les mains dans les poches sans être sûr de pouvoir se faire soigner facilement et sans frais exorbitants en cas de pépin. Par exemple, je voyage avec une carte européenne d’assurance maladie et une assurance pour l’étranger.
Si vous hésitez quant à laquelle choisir, jeter un œil sur l’un des leaders qui propose une assurance médicale voyage avec toutes les garanties dont vous pourriez avoir besoin.
Maintenant, histoire de vous motiver comme jamais pour prendre une assurance pour vos prochains voyages, voici nos pires galères de vacances !
Sommaire
L’indigestion en Dominique
Petite, je suis partie sur la jolie petite île de la Dominique, perdue entre la Guadeloupe et la Martinique. On vivait pieds nus, dans une petite case, entourés de poules, c’était typique et exotique ! Un jour, nous sommes partis dans une réserve indienne et y avons goûté le plat typique. Des bananes vertes cuites à l’eau de noix de coco. On ne pouvait pas refuser, on a bien tout mangé ! On n’aurait sans doute pas dû. On n’a jamais été aussi malade de notre vie. Une indigestion incroyable et des vomissements interminables. Résultat, j’ai mis plus de 20 ans avant de manger des bananes !
La brûlure de la Thaïlande
En Thaïlande, et surtout dans les petites îles, on a souvent tendance à se balader en scooter pour arpenter l’île. Jusque la tout va bien. Sauf qu’en réalité, c’est assez dangereux. Le port du casque n’est pas obligatoire et il n’est pas anodin de croiser une famille entière sur un même scooter !
Bien évidemment quand nous y sommes partis en amoureux la première fois, nous avons loué un scooter. Un beau matin, en descendant de cette machine de l’enfer, je me suis brûlée avec le pot d’échappement. Apparemment ça aussi, c’est assez commun ! Je me suis soignée comme j’ai pu sans y prêter vraiment attention jusqu’au jour où ça s’est infecté et j’ai dû filer à l’hôpital le plus proche.
On a dû m’enlever la peau infectée avec une pince à épiler ! Je suis tombée dans les pommes, vous vous en doutez ! Résultat ? Je n’ai pas pu me baigner pendant tout le reste de mon séjour et j’ai dû faire changer mon bandage chaque jour à l’hôpital ! Bravo le veau !
L’infection urinaire à Bornéo
En Asie, il n’y a pas toujours de papier toilette dans les WC, résultat quand vous allez faire pipi vous avez une petite bassine d’eau et débrouillez vous bien avec ça. En Malaisie, j’ai chopé l’infection urinaire de ma vie ! J’avais envie de faire pipi toutes les 2 minutes pour faire 3 petites gouttes et avoir l’impression d’en sortir des lames de rasoir ! Impossible de rester comme ça en voyage. Nous étions au fin fond de l’île de Bornéo et je commençais à regretter amèrement ces vacances. Heureusement, j’ai trouvé un petit docteur dans la rue qui a pu me donner d’urgence des antibiotiques. Résultat, je ne balade plus jamais sans quelques feuilles de papier, on ne sait jamais ! (enfin quand on peut encore en acheter !)
La jambe cassée en France
Quand il s’agit des enfants, c’est d’autant plus préoccupant. Forcément, il nous est arrivé quelques tuiles avec eux. Un bébé de quelques mois qui tombent la tête la première du lit, puis un autre qui se fissure le tibia.
Quand ça n’est pas dans notre propre pays, c’est toujours un peu délicat. On a nos repères en Espagne, on sait comment faire. Quand mon petit est tombé d’un toboggan et qu’il s’est mis à hurler de douleur, j’ai complètement paniqué. De plus, le papa n’était pas en vacances avec nous. J’ai dû filer à l’hôpital pour faire des radios et des examens en urgence. Résultat, on m’annonce 3 mois de plâtre, et surtout de ne pas le déplacer pendant les premières semaines. Je devais impérativement prendre l’avion pour rentrer en Espagne. Manque de chance nous venions de réserver nos billets d’avion pour les Etats-Unis le matin même pour un voyage prévu deux mois après.
Impossible de prendre l’avion avec un bébé plâtré, vous vous en doutez. Dans ces cas-là une assurance est primordiale.
1- Pour ne pas payer les frais d’hôpitaux (heureusement, c’était en France et j’avais la carte européenne d’assurance-maladie.)
et 2- Pour se faire rembourser le billet d’avion. Dans notre cas, il a pu enlever le plâtre 1 mois 1/2 après et non pas 3 mois comme annoncé. Et j’ai pu prendre l’avion quelques jours après l’accident pour retourner en Espagne. Ne me demandez pas comment !
L’infection de la gencive au Maroc
Une petite dernière pour finir en beauté, vous voulez ?! Il y a quelques années, bébé luciole est tombé tête la première sur un meuble et s’est enfoncé les dents de devant dans la gencive.
Pendant 1 semaine, il n’a quasi pas pu s’alimenter et j’ai dû l’emmener faire des radios à l’hôpital assez fréquemment. (vous allez rire, ou pas, c’était la même année que la jambe plâtrée !)
Bref, ça a fini par s’arranger et plusieurs mois après nous sommes partis au Maroc pour deux semaines. 2 ou 3 jours après notre arrivée, j’ai remarqué qu’il commençait à avoir une petite boule au-dessus de la dent au niveau de la gencive. Bon, à surveiller. Le lendemain ça avait triplé de volume. Il avait une bonne boule de pus pile au-dessus de la dent qui c’était enfoncée dans sa gencive. Je vous le donne en mille : L’HORREUR. On a bien évidemment paniqué !
Nous avons commencé à chercher un hôpital ou un dentiste, mais les avis étaient déplorables. Bien évidemment, on a regardé sur Doctissimo qui nous annonçait qu’en cas d’infection, il fallait arracher la dent. Il n’avait même pas 4 ans ! On n’était même pas dans notre pays ! On a tenté de rentrer, mais les billets étaient hors de prix. On a tout simplement vécu deux semaines d’angoisse avec qu’une seule envie : rentrer ! On lui appliquait un espèce de gel bucco-dentaire pour que ça ne s’empire pas. On a fini par appeler son docteur qui nous a dit de le mettre de suite sous antibiotique et de filer la voir dès notre retour !
Tout est bien qui finit toujours bien, mais comme vous pouvez le voir ça peut facilement devenir un vrai calvaire. Surtout quand il s’agit des enfants. On ne peut pas se permettre de faire l’impasse sur la santé et il est essentiel de prendre des précautions avant de partir.
Nous avons eu de la chance, car nous avons toujours pu éviter des frais considérables, mais si vous voyagez dans des pays comme les États-Unis par exemple ou le système de santé et très cher vous pourrez tout simplement vous endetter ou ne pas avoir accès aux soins alors renseignez-vous bien !
À vous maintenant, quelles sont vos pires galères de vacances niveau santé ?
À vous maintenant, quelles sont vos pires galères de vacances niveau santé ?
*en collaboration avec AXA
4 commentaires
C’est hallucinant !! ;)
C’est vrai qu’on prend jamais d’assurance mais du coup je vais y réfléchir à deux fois !
Oui, vaut mieux ! bISOUS
entorse, staph doré sur la jambe… et c’est déjà assez!!
Tu cumules tout de même !!! Va falloir te confiner à vie!!
haha pas question !